Résultat du match Italie Suisse

Fin de ce live commenté !

Merci à toutes et à tous d'avoir suivi en notre compagnie ce match entre l'Italie et la Suisse. On se retrouve dès demain sur Foot Mercato avec une rencontre peut-être synonyme de qualification directe au Mondial 2022 pour l'équipe de France, qui accueille le Kazakhstan au Parc des Princes (20h45). Bonne fin de soirée, et bonne nuit.

Domenico Berardi, encore lui, envoie un centre rentrant mais fuyant au second poteau. Personne ne peut le redresser et Sommer en profite pour capter.

Chiesa ne cadre pas !

À l'entrée de la surface, Federico Chiesa se décale sur son pied droit et arme. Avec un petit rebond malicieux juste avant, son tir fuit le cadre et n'inquiète pas Yann Sommer.

Rubén Vargas file seul au but mais, sur la déviation de son coéquipier Kastriot Imeri, il est hors-jeu au départ.

Le ballon semble brûler les pieds des Helvètes. La pression italienne est cohérente et fait mal aux Suisses.

Le coup de pied de coin amène une nouvelle situation dangereuse près des buts de Sommer. Une reprise sèche de Berardi est contrée par Widmer.

Sur le corner, Lorenzo Inisgne s'infiltre et rentre sur son pied droit. Son tir est dévié par un dos suisse et n'est pas loin de tromper Yann Sommer. Le ballon est dégagé par la Nati.

Sandro Tonali profite d'une erreur de relance de Silvan Dominic Widmer et se projette bien. Il sert Emerson, qui obtient un corner.

Denis Zakaria reçoit quelques soins de la part du corps médical helvète.

Les Suisses sont bien regroupés derrière et ne laissent que peu d'espaces à leurs adversaires.

Nouveau corner, obtenu côté droit, par Bryan Cristante, au duel avec Manuel Akanji. Sandro Tonali, encore au second poteau, rate là aussi le cadre.

Emerson combine avec Tonali dans la surface suisse. Le milieu de terrain milanais essaye de redresser ce ballon mais Sommer anticipe bien et se couche pour le capter.

Sur une subtile déviation d'Insigne, Chiesa est alerté dans l'intervalle. Widmer couvre bien et remise en retrait pour Sommer, qui dégage en catastrophe.

61% de possession de balle en faveur de l'Italie après 70 minutes de jeu, contre 39% pour la Suisse.

Emerson, ça s'envole !

Sur une offensive italienne, le ballon revient sur Emerson, légèrement décalé à gauche à l'entrée de la surface suisse. Il contrôle et enchaîne avec une frappe qui s'envole et fuit le cadre de Yann Sommer.

Le coup de pied de coin ne donne rien.

Sur la droite, Domenico Berardi fait le show. Il se joue de Denis Zakaria et revient sur son pied gauche pour centrer. Manuel Akanji repousse le danger en corner d'une tête au premier poteau.

Le jeu est beaucoup plus haché. Il manque ce petit grain de folie pour débloquer ce match. La fatigue se ressent déjà.

Giovanni Di Lorenzo est sanctionné pour une faute sur Rubén Vargas, dos au but.

Le public romain tente de rester éveillé et alerte. Une «hola» se lance dans les travées du stade Olympique.

Francesco Acerbi met le pied haut dans son duel avec Renato Steffen. Faute, au niveau du milieu de terrain, pour la Suisse.

Leonardo Bonucci réalise un tacle glissé très propre et plein d'énergie pour empêcher Silvan Widmer de se rapprocher des buts de Gianluigi Donnarumma.

Le schéma se répète. L'Italie presse haut et la Suisse tente de forcer la relance courte. Manuel Akanji est contraint d'allonger mais il se loupe. Sur la récupération plein axe italienne, Denis Zakaria est vigilant et rattrape l'erreur de son partenaire.

L'Italie obtient un corner frappé à gauche par Insigne. Tonali reprend le ballon au second poteau mais il ne cadre pas.

Dès ses premiers ballons, Sandro Tonali veut donner le tempo. Il distille de très bons ballons pour ses partenaires.

Roberto Mancini apporte du sang neuf sur la pelouse.

La Squadra Azzurra vient empêcher la relance des défenseurs centraux suisses. Le bloc est haut et pose beaucoup de problèmes aux Helvètes.

Bon retour de Silvan Widmer, qui met fin à une phase offensive italienne aux abords de la surface de Yann Sommer.

Giovanni Di Lorenzo envoie un long ballon destiné à Federico Chiesa sur la droite; C'est trop long et ça file en sortie de but.

Denis Zakaria écrase trop sa frappe de loin, qui est en plus trop croisée et non cadrée.

La Nati doit repasser vers l'arrière. Il y a moins de tranchant dans les actions des hommes de Murat Yakin.

Les Suisses se sont installés autour des 16 derniers mètres adverses. Le centre de Widmer ne donne d'abord rien, puis Vargas, bien entouré par les défenseurs italiens, doit temporiser.

Andrea Belotti est alerté plein axe mais Ricardo Rodríguez ne se fait pas avoir et dégage en touche.

Les Italiens évoluent toutefois plus haut et récupèrent le cuir dans le camp helvète.

Les hommes de Roberto Mancini reprennent le contrôle du ballon, comme au cours des 45 premières minutes.

Xherdan Shaqiri trouve Noah Okafor dans la surface. Il tente de centrer en pivot mais son ballon est contré par la main collée au corps de Leonardo Bonucci et finit sa course dans les gants de Gianluigi Donnarumma.

Les joueurs sont de retour, prêts à reprendre.

Anthony Taylor attend les 22 acteurs et place le ballon dans le rond central.

Noah Okafor est en retard et commet une légère faute sur Giovanni Di Lorenzo, qui en rajoute beaucoup au niveau de la ligne médiane.

Nicolò Barella s'infiltre dans la surface suisse. Repris par Fabian Schär, il réclame quelque chose mais il est signalé en position de hors-jeu.

Le coup franc frappé par Shaqiri, proche du poteau de corner, à droite des buts gardés par Donnarumma, ne donne rien.

La Nati n'y est plus dans cette fin de première période.

Les Italiens sont galvanisés par cette égalisation. Ils poussent avant de rentrer aux vestiaires.

Il s'agit du premier but encaissé en match officiel par la Suisse depuis la prise de fonction de Murat Yakin.

Le but est validé après une petite minute de flottement, vérification oblige. C'est validé par la VAR.

Nicolò Barella avait fait la différence en enchaînant passement de jambe extérieur puis crochet extérieur du droit. Fabian Schär est pris et commet la faute.

Noah Okafor, présent dans la couloir gauche, adresse un centre pour... personne. Mais Leonardo Bonucci panique et met le ballon en corner. Cela ne donne rien.

Silvan Dominic Widmer perd son duel en un contre un face à Emerson, et il doit repasser par derrière.

Giovanni Di Lorenzo manque son intervention aérienne devant Vargas, qui en profite. Il doit temporiser et le bon repli défensif italien coupe court à cette offensive suisse.

Le rythme est retombé depuis quelques secondes. Les joueurs sont peut-être à la recherche d'un second souffle.

Depuis la droite, en pivot, Nicolò Barella adresse un centre en cloche. Yann Sommer intercepte tranquillement le ballon et s'impose dans les airs.

Les Suisses perdent trop rapidement le cuir. Contrairement au début du match, leur jeu est moins limpide et efficace.

Les Italiens affichent un visage un peu plus conquérant. L'heure du réveil a peut-être sonné.

Les joueurs de Roberto Mancini sont encore trop brouillons, notamment dans la zone dangereuse. Les Suisses sont eux plus agressifs. Ils sont tout simplement mieux rentrés dans leur match.

Noah Arinzechukwu Okafor sert en retrait, à l'entrée de la surface, Xherdan Shaqiri cette fois-ci, mais le joueur de l'OL ne se couche pas assez sur le ballon. Sa frappe s'envole.

L'Italie n'a toujours pas tiré au but, contre 4 tentatives pour les Suisses.

Les Suisses gèrent parfaitement les transitions, qu'elles soient offensives, où ils se projettent extrêmement rapidement, ou défensives, le repli défensif étant propre et ne laissant que des miettes aux attaquants adverses.

Ça chauffe à nouveau devant le but de Gianluigi Donnarumma. Rubén Estephan Vargas Martínez, bien décalé par Xherdan Shaqiri, centre en retrait vers Noah Okafor. Leonardo Bonucci met le pied mais le cuir rebondit sur un partenaire. Emerson veille au grain et soulage les siens.

Les Italiens se rapprochent des buts de Yann Sommer. Andrea Belotti est trouvé dans la surface mais il est contraint d'en ressortir face à la pression mise par Fabian Schär dans son dos.

Les Suisses évoluent assez haut, sans complexe, ce qui gêne particulièrement la Squadra Azzurra, notamment dans la relance. En revanche, il y a pour le moment trop d'imprécision des deux côtés.

Anthony Taylor siffle une faute en faveur des Suisses, Federico Chiesa ayant commis une faute sur Ricardo Rodríguez.

Le jeu reprend, et Nicolò Barella fait son retour sur la pelouse assez rapidement.

Le jeu est interrompu. Nicolo Barella reste au sol après avoir stoppé, à bout portant, la frappe de Denis Zakaria au niveau des partie intimes. Il souffre, au sol.

Première phase de possession pour la Nati, qui prend confiance et fait bien circuler la sphère.

Denis Zakaria est sanctionné pour une faute sur Andrea Belotti, qui tentait d'amorcer une contre-attaque.

Les Italiens ont le pied sur le ballon en ce début de partie. Les Suisses ne se laissent pas faire et exercent un pressing intensif.

Profitant d'une mauvaise relance de Leonardo Bonucci, Xherdan Shaqiri récupère et se projette, plein axe. Aux 30 mètres, il arme une lourde frappe qui s'envole dans le ciel romain.

Nicolo Barella est le seul Italien titulaire menacé d'une suspension au prochain match en cas de carton jaune reçu ce soir. Manuel Akanji est le seul dans ce cas de figure pour la Suisse.

C'est au tour du Fratelli D'Italia de résonner. Frissons garantis.

L'hymne suisse retentit en premier, sous quelques sifflets rapidement balayés par les applaudissements de personnes lucides.

52 000 spectateurs assistent à ce choc, à Rome, en raison de la jauge de 75% imposée en Italie, Covid-19 oblige.

Les 22 acteurs quittent le couloir du stade Olympique de Rome et pénètre sur la pelouse de la ville éternelle.

Okafor, premier gros test

Le jeune attaquant du Red Bull Salzbourg, Noah Okafor (21 ans), s'apprête à vivre, pour sa 2ème sélection, son premier gros test international. Celui qui a inscrit 9 buts et délivré 5 passes décisives en 20 apparitions depuis le début de la saison avec le club autrichien devra pallier les absences d'Embolo et de Seferovic. C'est loin d'être une mince affaire.

Xherdan Shaqiri attendu au tournant

Très décevant depuis son transfert de Liverpool à l'Olympique Lyonnais l'été dernier (1 but et 1 passe décisive en 11 matchs), le capitaine de la Suisse en l'absence de Granit Xhaka sera particulièrement observé au Stadio Olimpico. Sa forme du soir devrait jouer un rôle déterminant dans la quête d'un résultat dans ce choc. Il sera chargé d'animer, en véritable chef d'orchestre, le front de l'attaque et de mener à bien les offensives suisses.

Avantage pour la Squadra Azzurra dans l'histoire

La Suisse est la sélection que l'Italie a le plus souvent affrontée au cours de son histoire : 60 confrontations, avec 29 victoires pour la Squadra Azzurra, 23 nuls et 8 succès de la Nati.

Pas de vainqueur à l'aller

Lors du match aller dans ces qualifications, le 5 septembre dernier, la Suisse et l'Italie avaient été incapables de se départager au St. Jakob-Park, à Bâle (0-0). Yann Sommer s'était particulièrement distingué en réalisant un sacré match (7 arrêts) face aux champions d'Europe en titre. Le portier de la Nati avait notamment repoussé un penalty de Jorginho.

Murat Yakin, des débuts réussis

Depuis le passage de témoins entre Vladimir Petkovic, parti à Bordeaux, et Murat Yakin, le nouveau sélectionneur de la Suisse possède un bilan intéressant. Il n'a pas encore connu la défaite après 5 matchs joués (3 victoires contre la Grèce, l'Irlande du Nord et la Lituanie ; 2 nuls face à l'Italie et l'Irlande du Nord). Sa Nati n'a d'ailleurs encaissé qu'un but (contre les Grecs, lors du premier match, en amical), tout en en marquant 8.

La reconnaissance du terrain pour les locaux

#WCQ 🌍

📸 L'ingresso degli #Azzurri sul prato dell'Olimpico 🌱#ItaliaSvizzera #ITASVI#Nazionale #VivoAzzurro pic.twitter.com/y5wZPXcdnS

— Nazionale Italiana ⭐️⭐️⭐️⭐️ (@Azzurri) November 12, 2021

Beaucoup d'absents

L'Italie doit se passer des services de Marco Verratti, Ciro Immobile, Giorgio Chiellini, Moise Kean, Nicolo Zaniolo, Rafael Toloi et Lorenzo Pellegrini pour affronter la Suisse. La Nati est-elle privée de Steven Zuber, Granit Xhaka, Breel Embolo, Christian Fassnacht et Haris Seferović.

Une bataille pour le fauteuil de leader

En cas de victoire, l'Italie et la Suisse, qui sont à égalité de points (14) au classement de ce groupe C, pourraient prendre une sérieuse option sur la première place, et ce alors qu'il ne reste que deux matchs à disputer, et donc 6 points à prendre.

• Retrouvez le classement du groupe C